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Kraftwerk semble avoir livré tout ce dont il était capable avec "Trans-Europe Express". Après ce qui reste son chef d’oeuvre, ce "The Man-Machine" s’avère bien pauvre. Squelettes de mélodies, instrumentation minimaliste et boucles répétitives constituent le frugal menu de ce disque qui, en dehors d’un certain aspect historique, n’a pas grand-chose pour retenir l’attention. Et que les sonorités de synthés qui paraissaient si modernes à l’epoque ont mal vieilli et semblent aujourd’hui kitchissimes !
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