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Fan de Marillion des deux époques, je constate qu'il y a certaines de leurs oeuvres que j'écoute très peu : Radiation, .com, Less is more ; celles que j'écoute tout le temps ; et au milieu il y a Brave, que je ne peux écouter qu'en sélectionnant certains morceaux. Le début est superbe, la fin géniale et au milieu il y a en quelque sorte des boulets brouillons, répétitifs : Paper lies, hard as love alone in the lap of luxury (pas beau à dire et répété des dizaines de fois en 8 mn), Brave trop long et mou ...
Quel dommage de ne pas avoir inclus le titre "Marouatte Jam" que l'on peut trouver sur des CD bonus qui inclue Bridge, tout en raccourcissant ou supprimant les 4 titres ci-dessus.
Concept album je veux bien, mais il ne faut pas que le sujet pénalise l'oeuvre. Enfin heureusement il y a Runaway girl, bridge, made again...
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Voici l'adoubement de la période Hogarth. A mon sens, l'album le plus conceptuel de cette deuxième phase. Un puissant générateur d'émotions.
Je vais paraphraser Pete, mais il me semble très opportun d'affirmer, en effet, qu'il s'agit là du "Misplaced Childhood" de l'épopée post Fish.
Même si, pour moi, il n'a pas les moyens d'égaler l'incroyable pouvoir de Misplaced, mais encore une fois, il convient de distinguer les périodes.
En respectant ce cadrage, je suis obligé d'attribuer la note maximale à ce Brave.
Il fait partie des albums que l'on ne peut pas transposer à travers les mots, il faut l'écouter pour en avoir la représentation. Et le réécouter, encore et encore. La fascination qui en émane au final est aussi grande que sa musique est étrangère à l'oreille, de prime abord.
LA référence de l'ère Hogarth.
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Surpris que ce concept ne soit pas recommandé par MW...parce qu'il le mérite. Un pan des années 90 est érigé là, grâce à ce monument.
Si il fallait choisir un album de Marillion à emmener sur une île déserte, je prendrais celui là (avec un groupe électrogène et assez d'essence pour faire tourner le disque éternellement).
Le "Misplaced Childhood" de la période Hogarth.
Marbles est un cran en dessous (difficile de remplir 2 CDs...)
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J'ai décidé aujourd'hui de me réécouter Brave. Je ne l'avais pas trouvé à mon goût à l'époque, j'avais oublié pourquoi...je comprends un peu mieux aujourd'hui...en fait, hormis les ambiances qui sont tout à fait bien rendues au vu de l'histoire, le manque d'accroche mélodique me gêne particulièrement. Seules le magnifique "Great Escape" (avant dernier titre) et le bon "Made Again" (dernier titre) sont mémorables, le reste, c'est...comment dire...une "usine à gaz musicale" ou, s'il m'est permis, "de la branlette intello-musicale"...désolé les gars, mais je vais me refaire un petit "Seasons End"...
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Attention chef d'oeuvre. Concept album baladant l'auditeur entre sensibilité et violence sonore, Brave reste à ce jour l'oeuvre la plus aboutie de la période Hogarth. Rien à jeter là-dedans, tous les musiciens semblant véritablement habités par ce projet ... impression confirmée en live.
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J'ose pas mettre une mauvaise note tellement cet album pour moi insignifiant est aimé par d'autres. J'ai l'impression d'entendre la même chose du début à la fin du disque ... Et en plus il est long. J'accroche pas du tout, ça doit venir de moi... Mais peut être pas !!!
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