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Ce Phideaux Xavier est ensorcelant. Possédant l'ensemble de ses albums (je me les suis procurer d'un coup, hop les six), je me suis attelé à me les ecouter dans le sens chronologique. Bien m'en a pris...Ce Doomsday Afternoon est tout simplement une tuerie. Le mix est d'une clarté hallucinante, quand la qualité sonore est présente, c'est d'autant plus facile d'accéder au contenu. UNE CLAQUE. J'adore ce prog là... Number seven arrive, je n'attend qu'une chose : que cela monte encore d'un cran...le pourra t-il ? De toute façon à ce niveau là les marches ne sont plus énormes à franchir pour atteindre la perfection..
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Un album tout simplement excellent. Une grande variété de styles qui ne dessert pas pour autant une certaine ligne directrice. De bonnes idées à chaque morceau, un côté symphonique qui se fait rare de nos jours. Phideaux nous avait habitué à un mélange de bon et de moins bon, ici, on a vraiment droit à une très bonne surprise.
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Les références sont tellement nombreuses (Camel, Genesis, Pink Floyd, Yes, Jethro Tull, Kansas, même PFM ...) qu'il n'y a plus lieu de parler ici de musique influencée. Si l'album se situe clairement dans une continuité des grands opus des glorieuses années du progressif, il reste terriblement de son époque. Bref je ne me lasse pas de ce bijou que j'écoute quasiment tous les jours au moins une fois depuis plus d'un mois que je l'ai reçu. Bref, je n'ai qu'un conseil, si comme pour moi vos oreilles ont été alimentées à jet continu par les sus-cités : FONCEZ !
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Voici donc le dernier album de Phideaux, présenté comme son Magnum opus ; avec “Doomsday Afternoon”, Phideaux marche résolument sur les traces du Camel de “Harbour of Tears” ou de “Leftoverture” du Kansas de la grande époque. Avec de telles références, l’ambition est écidemment bien plus élevée que pour ses précédentes parutions, et le résultat est, disons-le, excellent.
D’où vient alors cette impression que l’émotion n’est que rarement au rendez-vous ? La faute peut-être à une utilisation un peu trop appuyée des effets, et notamment une orchestration (symphonique) parfois envahissante, et un peu datée. En simplifiant les moyens, Phideaux aurait probablement gagné sur le registre émotionnel, et réussi à sortir un grand album. Mais ne boudons pas notre plaisir, “Doomsday Afternoon” mérite d’être salué comme un effort plus que méritoire d’amener les auditeurs d’AOR sophistiqué vers le prog symphonique : chapeau !
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