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En fait, ma note est de 10... Le meilleur album de Carptree pour moi. Mais je suis un fan, alors je ne suis peut-être pas objectif ! N'empêche, je suis dingue de leur style et de la voix de Niclas Flinck. Ce type me fout la chair de poule... Et dans cet album, il y tout pour me plaire : la mélancolie, le côté sombre, la retenue, les mélodies... Et le piège de la fin : "The water", dont je n'arrive pas à me dépétrer... Il passe en boucle, et les larmes me viennent aux yeux à chaque fois que je l'écoute ! Aidez-moi !!!!
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Carl WESTHOLM est probablement l'un des claviéristes les plus intéressants de la scène prog (avec Andy Tillison de The Tangent). Non pas qu'il s'illustre par des solis virtuoses, ce n'est pas le genre de la maison Carptree (ni même les solis de guitare pourtant ici bien présente). Non, c'est surtout l'ambiance qu'l sait créer avec des sons tout aussi anciens que modernes ou simplement un arpège de piano, une ambiance qui fait que Carptree est un groupe à l'identité sonore immédiatement reconnaissable. Son compère Niclas Flinck et sa voix elle aussi singulière contribue à créer cette identité sonore unique dans le prog. Certes le message musical est le plus souvent angoissant, parfois gothique voire "cinématographique" mais sans lourdeur excessive. En cela la réduction des choeurs à 2 voix masculine et féminine contribue à épurer un peu plus le discours musical qui était parfois un peu lourd avec les cheurs classiques dans les 2 précédents albums.Même si le rythme n'est jamais très rapide il n'y a pas de mollesse dans cette musique ni même de monochromie sonore, le No Future Orchestra assure un maximum et que l'on écoute la guitare la basse (très présente) ou la batterie tout cela est très cohérent et d'un très haut niveau. Sans ostentation, ce qui donne un discours musical très homogène où la mélodie prime avec bien sûr la voix très expressive de Niclas Flinck. Le disque se termine d'ailleurs par un magnifique morceau, "The water" très poignant, simple mais simplement magnifique. Un groupe qui n'a probablement pas le succès qu'il mériterait, car il n'y a jamais eu de fautes de goût dans leurs créations.
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Désolé mais je n'arrive pas à partager l'enthousiasme général. La voix me tape sur les nerfs, ce qui est déjà un mauvais point de départ pour écouter tout un album. Ensuite, je trouve les compositions quelconques, les changements d'atmosphère peu fluides, ça manque de soli bien amenés, ça manque d'émotion, ça manque ... d'un peu de tout en fait. Je laisse les aficionados poursuivre un chemin que je ne suivrais pas.
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Superbe album, dans la lignée de "Insekt", pour le côté sombre et symphonique (voir encore plus sombre ...) . Par contre la structure des morceaux est différente, il y a plus de morceaux assez longs. A mon goût aucun n'est à jeter, le top avec "Land of plenty", un amateur de Genesis période Gabriel comme moi est "aux anges" si j'ose dire ... Le dernier morceaux est d'une limpidité et d'une beauté renversante (les arrangements des choeurs sont superbes) ! Petite nouveauté soulignée par le chroniqueur très justement, un côté plus "heavy" sur certains passages ce qui dynamise beaucoup la musique. Très bon. Seul point noir, la durée de l'album !!!! Je le trouve trop court .... du coup je l'écoute en boucle ! Si vous aimez Carptree, c'est donc un album à ne pas manquer, peut être le meilleur à ce jour. Ceux qui n'aiment pas et bien cela ne changera pas avec cet album, ceux qui ne connaissant pas encore je vous envie, la découverte de ce groupe ouvre de bien beaux horizons. Une musique complexe et sombre qui demande du temps (il m'en a fallu pour apprécier pleinement ce groupe), mais une fois que l'on maîtrise, c'est sans doute un des groupes les plus innovant et surprenant de la décennie passée.
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Bien sûr, il y a le son Carptree : impossible de ne pas reconnaître cette voix inimitable, portée par des envolées symphoniques et atmosphériques évoluant entre douceur et somptuosité. Mais avec ce Nymf, le duo suédois a élargi sa palette, jouant notamment encore davantage sur les oppositions : vocalement, Niclas Flink arrive à dépouiller sa voix jusqu’à la plus fragile nudité, toute émotion dehors, tandis que les rythmiques se durcissent par moments et que les synthés s’extériorisent plus (magnifiques solos sur Kicking and Collecting, The Weight of Knowledge ou Dragonfly). Les chœurs sont toujours aussi présents, avec des allures dignes d’un Carmina Burana moderne.
Avec ce disque plus en contrastes, Carptree nous livre une musique féline, capable de ronronner ou de rugir, mélodique jusqu’au bout des vibrisses. Le meilleur album d’un groupe qui nous a pourtant déjà provoqué des émotions magnifiques !
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