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"Music as it was to be made". Le mot qui me vient à l'esprit en écoutant cet album, c'est "enchantement". Tout y est à sa place : la voix absolument enchanteresse (bis) de Christina, le jeu de guitares / claviers de Rob (notamment cette guitare éthérée qui sied si bien à sa musique), des mélodies accrocheuses, pas aussi simples qu'on pourrait le croire de prime abord. Ça ne hurle pas, les potentiomètres ne sont pas poussés à fond, la batterie ne déchire pas tout : et alors ? Magenta : what else ?
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Un album qui part sur les chapeaux de roue !! 3 excellents morceaux en ouverture pour aiguiser mon appétit (Gluttony, Envy et Lust), malheureusement le titre Greed me plait déjà largement moins et fait un peu retomber la pression, d'autant qu'il fait plus de 13 minutes... Pas trop grave, un Anger sympathique me permet de retrouver en grande partie un réel plaisir d'écoute. Confirmé par un Pride assez étonnant mais néanmoins relativement agréable, pour finir avec un Sloth là encore très agréable...
Au final, un très bon disque légérement handicapé par le morceau Greed en plein milieu et par une fin d'album un poil moins intense que son début... 7.5/10
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Le hasard fait que j'étais justement en train d'écouter ce disque pour la première fois ( sans connaitre leur galette précédente qu'est "Révolution" ) lorsqu'en me connectant sur mon site progressif préféré, je le découvrais comme chronique du jour ... C'est du Yes ( surtout le début du disque ), j'y ai entendu du "Relayer" et même du plus ancien. Il y a aussi des arpèges de claviers néo-prog, et la voix féminine est très à sa place ... Même si il n'y a rien de vraiment nouveau là dedans ... J'adore ( Un nouvel album de Yes à l'ancienne est toujours un événement ).
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