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Je me souviens bien, cela fait tout juste un an que j'ai découvert Beardfish, avec cet album ! Franchement ça a été une révélation pour moi, je suis instantanément tombé amoureux de la voix de Rikard Sjoblom et de ce style de progressif, absolument fabuleux, complexe sans prise de tête, un son dur mais pas "metal", des mélodies à tomber par terre... Il se bonifie au fil des écoutes, c'est pourquoi je ne lui accorde pas la note de 8, mais 9, comme leurs trois derniers albums ! L'un de mes 5 groupes préférés, assurément !
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C'est sans doute ce qui relève des sentiments partagés. On trouve de tout sur cet album, qu'il s'agisse des références stylistiques ou des aléas qualitatifs. Du Zappa, du Genesis, d'autres tendances un peu (beaucoup) tournées vers le hard. Et puis qualitativement, du bon et du moins bon. Pour un "Platform" et un "Green Waves" plutôt brouillons, déconstruits, sans orientation(s) émotionnelle(s) particulière(s), on aura aussi un "And the stone said...", un "Tightrope" très réussis, remplis à bloc de talents éminemment progressifs, ou un final "Without saying anything" situé entre deux eaux. Difficile de cautionner la production, mais il serait bien dommage aussi de jeter le bébé avec l'eau du bain.
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Je n'ai pas accroché. Trop confus, pas assez mélodique, un son souvent assez cru qui ne me parle pas.
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Beardfish est vraiment très prolixe avec un rythme de sortie impressionnant. Et tout cela sans rogner sur la qualité des compositions. Ce Mammoth est le plus accessible des Beardfish avec toujours de belles références à Zappa. A noter l’édition digipack avec un dvd très bien fait qui mélange making off de l’album et extraits de concert. Un des disques de rock progressif de l’année. Note: 8.5/10
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