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"All Rights Removed" est le premier Airbag que j'ai découvert, et quand je lis la chronique, c'est comme un écho de mon ressenti. Notamment sur l'addiction de longue haleine : l'album ne se laisse pas apprivoiser dès la 1ère écoute. Loin de là. Mais lorsque l'auditeur réussit enfin à ouvrir les vannes de ce feeling, j'allais dire propre à la composition de Bjorn Riis même si tout cela nous ramène évidemment à Pink Floyd, il s'avère impossible de s'en passer. Gare à l'écoute en boucle... C'est ce qui guette l'auditeur une fois conquis par cette musique sombre, et couvant pourtant une improbable résignation teintée de sérénité. C'est peut-être là que réside le talent de Bjorn Riis... Sa discographie solo, hautement recommandable elle aussi, embarque les mêmes intonations de cette indéfinissable émotion. Voilà plusieurs années maintenant que cette musique ne quitte plus le top de mes écoutes.
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Quand la musique est bonne ... pourquoi s'en priver ? Voilà de la musique qui s'écoute, allongé dans le noir, l'esprit serein. Des mélodies soignées, un jeu de guitare de toute beauté, il en faut peu pour être heureux. Peut être un peu plus de claviers pour le prochain album ?
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Il m'aura fallu bien du temps et les opinions laudatives des chroniqueurs de MW pour réussir à entrer dans cet album qui me paraissait plutôt quelconque de prime abord. Finalement l'effort en valait la peine : l'univers atmosphérique d'Airbag se situe entre Archive et Pink Floyd. Lent, triste, émaillé de beaux solos de guitares, un chant fragile juste ce qu'il faut. L'album n'évite pas certains moments un peu répétitifs, mais c'est le genre qui veut ça.
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Album de la maturité ? Sans aucun doute. Pas très original, mais tellement bien fait que l'écoute de ces 50 minutes lumineuses est captivante. Et comme l'original (Gilmour) se fait de plus en plus rare ...
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