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Ah ... que j'attendais ce cd ! Cosmograf fait partie de mes coups de cœur. Étant sensible aux atmosphères floydiennes et aux effets (encore le Floyd...) j’étais très impatient de découvrir ce nouveau Cosmograf . Cela m'a pris quelques écoutes avant de me prononer et hop! Et j’adhère de nouveau à ce monde. Je laisse tomber les commentaires techniques - tout a été dit. C’est ce type de musique que j’aime écouter…les lumières tamisées et plongé dans l’univers de Cosmograf…9,8,7,6,5,4,3,2,1…Lift off !… Un 9 sur 10 bien mérité
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Selon moi, un album quelque part entre le Floyd et Marillion du début (certains claviers et solo de guitare). J'ai été touché par les textes, que j'ai appréciés (je dois avoir un faible avec les concepts et le style floydien) , j’ai tout simplement adoré . Donc je mettrais un 8.5 , même si la prise de son n'est pas a la hauteur (un son plutôt plat). Et comme je suis du même village (Montreal) qu'Innerspace, excusez mon petit parti pris !
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...Quoi dire de plus sur cet album … Ne connaissant pas Gazpacho, j’étais agréablement surpris à la première écoute par l’approche tout en douceur du début (après la première pièce évidemment) et par une progression hypnotique mélodique (magnifique développement d’ailleurs) jusqu'à une final qui nous sort de notre état léthargique (il ne me vient que ce mot pour interpréter cette sensation d’envoûtement). Donc je sais que je m’éternise sur le plan psychologique de l’album, mais pour moi le prog c’est une émotion avec une interprétation du feeling à l’écoute de ce type de musique atmosphérique…OUF!. Donc je lui donne un 9/10. Il me reste maintenant à découvrir Night.
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Album sublime qui balance entre univers visuel fiction et Carptree. Intensité soutenue tout le long des titres dans une perfection auditive. A mon humble avis First Contact vise plus haut que le 01011001 d'Ayreon que j'aime tout de même. Donc pour les trippeux de Carptree, d'Ayreon et d'univers sonore métal progressif symphonique !!!
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Attente énorme qu’est cette dernière création d’Ayreon qui m’avait impressionné des le départ avec the final experiment. Ayreon le groupe prog des années 90’ (80’=Marillion,70’=Pink Floyd,60’=Procol Harum,2000’=?).
Depuis l’album THE DREAM SEQUENCER le but ultime avait été atteint, qualité et créativité sans pareil. Atmosphère unique à Arjen, alchimiste musical sans pareil, fluidités de la mélodie a travers les textes. Qui a mon humble avis n’a jamais été égalé dans l’univers d’Ayreon. Donc après même la suite Flight of migrator qui ne s’est jamais envolé malgré quelques pièces énorme (into the black hole ou Dawn of a million souls), après le projet Ambeon qui est tout de même acceptable et même remarquable, l’attente fue longue et pénible .Et Hop!!! Vigil vient s’installer dans mes oreilles …et je ferme les yeux… Je découvre encore une fois un univers propre à Ayreon, comme nous avait habitué ce cher Arjen…qualité de la production indéniable, vague claviérique, riff impitoyable, voix et textes significatifs et j’en passe. Mais malheureusement sans trop nous emporter a un niveau aussi personnel qu’un Dream Sequencer, qui est tout de même très élevé et unique.
Bon après plus d’un mois d’écoute de cette équation tout de même humaine, je doit admettre que je suis devenus accro (avec aussi le dernier de IQ!...juste en passant).
Il y a naturellement quelques petit Hic qui ont été observés aussi par d’autres trippeux d’Ayreon. Premièrement la voix de Devin n’a été exploitée que d’une seule façon et c’est la façon qui m’agace le plus. Aussi les développements qui finissent pas s’écraser malgré des débuts dignes d’Ayreon comme Pain ou Confrontation qui est magistral au début mais qui fini dans une cohue criarde. Il y a aussi le mélange metal-folk-voix! de loser qui me fait débarqué. Et finalement vu que l’album était un double cd, je m’attendais a de long passage instrumental avec déploiement de solo et autres. Mais généralement ce double créatif de Arjen me transporte dans son univers propre et fidèle a lui même (trop peut être car sans trop de surprise…).
Ayreon restera toujours « Ayreon » , monde sonore qui frappe par son aspect visuel, Ha!!! que j’aimerai voir The Dream Sequencer ou The electric Castle sur un plan cinématographique genre animation par ordi ou autres autres styles,mais cela reste mon rêve personnel tout simplement. Donc l’attente en valait la peine et je ne peux que le recommander assidûment malgré ma note a 7.5/10.
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Le dernier Galleon vient d'arriver sur les tablettes et je me suis empressé de l'acquérir. A l’écoute de FROM LAND TO OCEAN, je ne peux que m’empêcher de sentir ici l’évolution constante de ce groupe suédois. Mais revenons un peu en arrière pour comprendre ce groupe qui fut mis au rencard par plusieurs.
Sans ébranler le monde du prog, Galleon apparu en 92 avec l’album Lynx, évoluant sur un fond de synthétiseur(piano), Galleon n’a jamais pu se démarquer des autres groupes prog, tant par leur instabilités musicale que par la voix du chanteur au nom de Goran. Il possède une bonne voix, mais sans distinction spéciale et même sans saveur aussi …se rapprochant des fois de Sadler de Saga mais sans plus.
Et les albums suivants sort sans surprise ; HERITAGE (94) , KING OF ARAGON (95). Mais ce n’est qu’a l’arrivé THE ALL EUROPEAN HERO (96) que Galleon marquera le monde du Prog, (nouveau Logo du groupe) avec de bonne pièces mieux structurées, emballées dans un superbe album concept. Deux ans passent et ils sortent MIND OVER MATTER (98) album stable mais sans plus! …et pour 2000, Galleon nous surprend avec BEYOND DREAM et l’arrivé enfin d’un excellent guitariste Sven Larsson qui amènera Galleon a un son plus équilibré entre le synthé et la guitare.
Galleon parviens toujours a se surpasser d’album en album. Et l’arrivée de FROM LAND TO OCEAN… marque enfin la maturité de ce groupe qui rejoint doucement mais surement le rang des groupes prog de renom. Galleon nous donne ici un disque double avec une pièce longue de 52 min qui englobe a elle seul le deuxième disque. Bon, les textes n'ont rien de fantastique dans les deux sens du terme, mais ils sont efficaces pour la compréhension de ce concept…politique, économie, etc…notre chère société.
Galleon ne tombera jamais dans le heavy voir metal. Donc avis au fan de musique lourde ou speed, Galleon est à oublier. Nous pourrions les comparer avec ce qui se fait sur le marché musical, mais cela serait risqué, car Galleon a bien son style, un style un peu vague je l’admets, mais possède un son propre, un son un peu trop propre justement. Galleon touche un peu à quelques genres, des fois rock pur ou rock hard des année 60/70 (Fall of fame) avec des arrangements prog plus ou moins travaillés. Mais a travers ces pièces viennent se greffer des pièces solides cent pour cent prog, dignes d’intérêt comme Three colours …avec la présence ici du piano (comme toujours) qui entame une introduction au rythme tribal dans un accueil à la terre …Welcome to this land… Ou bien la superbe pièce instrumental liopleurodon interprétée solidement ici, sans temps mort, tout en changeant de rythme…belle réussite. On remarquera que le groupe possède une bonne assurance dans son interprétation. Et pour terminer le premier acte de cette œuvre, The price… tire sa révérence avec une finale Genesisiènne a la Firth Of Fifth, petit clin d’œil ici.
Acte deux (cd.2), le rideau se lève avec un son plutôt new age et doucement les notes venues de nulle part s’entremêlent avec le thème Ocean. Et là commence le voyage de 52 minutes , divisé en 19 escales.
Galleon auraient bien pu en faire plusieurs pièces, mais justement cela leur a permit de mélanger leur instinct créatif sans facteur temps. Naturellement quelques longueurs se font sentir et l’intérêt se perd quelques fois dans leurs idées musicales plus ou moins réussies mais qui en général fusionnent bien. La dernière pièce au titre évocateur de Paradise or what? Viens abaisser le rideau sur la fin de ce concept. Les textes sont toujours écris par le chanteur Gôran Fors.
Finalement Galleon nous surprend par cette œuvre étalée sur deux cd. Musicalement ils sont sur le point de rejoindre quelques autres groupes du prog reconnu, sans toutefois avoir encore une technique tres sophistiquée ni une voix a casser la baraque ni finalement des idées d’une originalité tres développée. Mais Galleon a la particularité (ce qui manque chez certains groupes prog…) de créer une dépendance, car plus on les écoute (les derniers) plus on en redemande. Je pourrai même dire que Galleon possède un petit coté caché que l’on redécouvre à chaque fois et que le temps venu de terminer l’écoute, des notes s’entrecroisent dans un silence qui nous fait apprécier des créations simples mais fait pour rester.
Pour moi Le From land to ocean mérite amplement un 8.5 sur 10. Mais comme les .5 ne son pas accepté, je dirais donc un 8 sur 10. A découvrir si vous ne connaissez pas encore Galleon.
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