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Un album redécouvert sur le tard. Plus de 20 ans après, cet album regroupe tous les clichés (bons ou mauvais) de la scène metal prog de l'époque. Zero Hour et "The Towers of Avarice" sont les enfants d'un Dream Theater époque "Awake" qui aurait croisé Nevermore...
Rien de déshonorant en soi (bien au contraire) !
Le seul vrai reproche que l'on pourrait faire à cet album est un manque de personnalité et de variété dans certains riffs (notamment les deux premiers titres) donnant une impression de linéarité mais rien de rédhibitoire...
Finalement, une musique, et un jugement similaires à ceux de "Specs of Pictures Burnt Beyond" !
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Encore une fois, ce n'est pas avec cette nouvelle livraison qu'August Burns Red renouvellera le genre. Mais en a-t-il été question une seule fois ? Quoi qu’il soit, cette neuvième livraison s’avère une nouvelle fois d’une efficacité redoutable dans la droite lignée de ses prédécesseurs. Un album qui ravivera à coup sûr les fans qui ont porté aux nues le combo pennsylvaniens et qui continueront de le faire.
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"Letchology" soit "Science de la Ratatouille"...
Si en soi, le titre de l'album ne nous éclaire pas plus sur sa teneur et soyons honnête, ne nous donne pas plus envie que ça d'aller goûter au plat que nous propose Dirty Shirt, ce serait dommage de ne pas aller y planter sa cuillère...
En effet, en 9 titres, le combo roumains nous propose un savant mélange d'influences diverses allant de Emir Kusturica (ou Bregovic) dès l'introductif 'Latcho Drom' pour son côté folklorique pour lorgner plus précisèment vers Viza (ou System of a Down) pour la fusion du metal et du folk (l'entêtant hymne 'Palinca'), le côté néo metal français dont se réclame le combo ('Put it on'), ses racines prog metal à la Dream Theater (qu'on retrouve sur 'Hora Lenta') et le côté piano bar déjanté d'un Diablo Swing Orchestra qu'on retrouve sur 'Fake'... et Dirty Shirt réussit à faire sonner ce mélange apparemment indigeste de façon très naturelle pour en faire un album totalement addictif dont l'apothéose est clairement le final 'Starea Natiei" qui réunit toutes les influences mentionnées...
Avec "Letchology" , Dirty Shirt prouve qu'il est passé maître dans la science de la ratatouille et nous balance un album qui figurera dans bon nombre de top de l'année à qui aura osé poser une oreille curieuse sur cet OMNI totalement addictif !
Un album à découvrir impérativement et de préférence sur scène puisque le groupe tourne en France en ce mois de mars... 9/10
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Comme le souligne fort justement Noise dans sa chronique, après quelques albums de tâtonnements, In Flames semble avoir trouver le parfait équilibre entre ses diverses influences pour proposer un album de metalcore alternatif qui fera date ! Un grand cru assurément !
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Il y a bien longtemps que Dream Theater ne me faisait plus sourciller : comme le souligne à juste titre Calgepo, je fais partie des "Francis Cabrel" du prog metal.
En revanche, il faut bien avouer que ce "Distance Over Time" est une vraie belle surprise d'un groupe dont je n'attendais plus rien !
Un album concis qui pioche dans les différentes époques du groupe pour un résultat très efficace comme chaque intro ultra-soignée et hyper addictive !
Un album hautement recommandable qui devrait à coup sûr faire l'unanimité entre fans de la première heure et les nouveaux...
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Comme nous l'avait avoué Edu Falaschi dans son interview pour Music Waves, la créativité n'était clairement plus au goût du jour au sein d'Angra. Pas étonnant qu'il se consacre désormais à 100% à son projet Almah nettement plus réjouissant.
Pour ce nouvel album solo d'Angra, c'est sans surprise Fabio Lione (Rhapsody of Fire) qui assure la relève. Mais si comme son prédécesseur, sa prestation n'est pas à remettre en cause en revanche les compos se révèlent globalement sans aucun relief...
Vous l'aurez compris, je ne partage pas l'avis dithyrambique de mon confrère concernant un album qui s'oublie aussi vite qu'il s'écoute. Un album finalement sauvé par la reprise de 'Synchronicity II' témoignant du manque criant d'inspiration des brésiliens... bref, ce n'est pas avec cet album qu'Angra retrouvera son lustre d'antan !
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