|
|
|
Cela 25 ans que je connais DT, et je suis dubitatif avec cette dernière galette. Certes Rudess a retrouvé son lustre d antant période LTE, avec des sonorites bien senties et moins boite de conserve. Labrie est très bon, Mangini est tres carré mais manque indiscutablement de folie créatrice et de groove de son prédécesseur .myung fait son job.et Petrucci a abandonné ses excès de shred et nous sort des solos dont il a le secret. Mais avec tout ça, je trouve l'album intéressant car une fois de plus le groupe est aller de l'avant et a fait preuve d innovation comme sur tous leurs albums. Le problème pour moi c est ce côté excessivement massif trop " que metal" même sur TOT ils avaient gardé leur patte prog. Que le groupe choisisse de faire des morceaux plus condensé et efficace est plutôt bien vu car nous avons connu des excès de passage superflu. Du coup j'ai ce désagréable sentiment de pas avoir eu la moindre émotion après 20 écoutes. Ainsi qu' une apprehension de manque de créativité qui se confirme pas ce temps arrêtés 60 minutes.bien sûr des chefs d'oeuvre par le passé ont meme fait 40 minutes. Mais ou est cette pièce prog quasi obligatoire de 15 min qui aurait trouvé sa place dans l espace vaccant. Par conséquent je ne peux m'empêcher de penser que l'omniprésence de Petrucci a la composition et production manque sans doute de contre proposition comme pouvait le faire portnoy. Au fond pour moi, cet album est l'image de sa pochette ,perte d'humanité donc de sensibilité et trop robotique dans les sonorités et structures des chansons
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Haut de page
|
|