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Comme pour les albums précédents, l'alchimie fonctionne dès la première écoute, l'addiction est assurée. Prévoir de bannir le mot autoproduction dans ce qu'il a de péjoratif... poésie, mélodie, rythmes, voix, tout est là bien en place, sans prétention. Vous sentirez le doux parfum du prog s'exhaler au détour de chaque phrase, lui si souvent fugace et volatile, il est ici enivrant et l'ivresse perdure à chaque ouverture du flacon. Ici aucun risque d'allergie, la diffusion à votre entourage ne pourra qu'être bénéfique. 4603x 2011= 10-1= 9 parce que 10 y'a pas.
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Même si le chemin vers le bonheur est parfois un peu sombre, Jolly sait retenir l'attention sur chaque titre et le guide audio sera indispensable pour jouir pleinement des multiples références qui régaleront les metaloprogueux et pas qu'eux. Mon album du mois dans le genre Steven Wilson. Jolly and happy. 8.5/10 !
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Enfin un disque bourré de surprises ! Le rock c'est aussi dépasser la ligne blanche ... Une production irréprochable et une prestation vocale de DG largement au-dessus de la moyenne. Un melting pot de tout ce que j'aime. 15 écoutes depuis juin et aucun ennui, on en redemande !
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