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Album PENDRAGON MEN WHO CLIMB MOUNTAINS PENDRAGON
MEN WHO CLIMB MOUNTAINS (2014)
TOFF
ROCK PROGRESSIF
4/5
EILEAN11
24/10/2014
 
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Tout à fait d'accord avec l'avis précédent, ce nouvel opus ne s'inscrit pas dans la lignée de Passion qui marquait la fin d'une période.
Avec ce MWCM et un nouveau batteur, les ambiances sont plus douces, feutrées. Il y a de l'ancien Pendragon mais (hélas) moins grandiloquent.
Ce n'est plus épique mais tristement doux.
Désolé pour la correction mais sur In Bardo, le solo de clavier est assuré par Clive Nolan.
Et c'est ce qui me fait rejoindre à nouveau le commentaire précédent à savoir les indications constantes de NB quant au fait qu'il assure une bonne partie des claviers.
Cela me désole un peu dans le sens où même s'il assure depuis longtemps la direction créatrice et artistique de Pendragon, les apports de Nolan ont toujours été conséquents et nécessaire à la caractérisation de ce qu'est le groupe.
Nolan est relativement absent de cette dernière œuvre et je trouve qu'il manque. Espérons que cela n'augure rien de mauvais pour la suite...
Néanmoins, nous avons là un bel album, beaucoup d'arpèges moins de solos de guitare mais l'ensemble est cohérent quoiqu'un un longué sur la fin (explorer of the infinite).
Mention spéciale pour ma part à l'ensemble Belle Ame / Beautiful soul très efficace.

Album IQ THE ROAD OF BONES IQ
THE ROAD OF BONES (2014)
REPLICA
ROCK PROGRESSIF
2/5
EILEAN11
29/07/2014
 
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Without walls qui est un vrai épic comme IQ sait les concocter, une section rythmique imparable avec un très grand Paul Cook et...et... c'est tout! Mike Holmes est en semi vacances, les morceaux s'oublient vite. Je suis déçu. Neil Durant est bon au clavier mais ne remplace pas hélas son prédécesseur dans ses qualités créatrices et c'est au final le véritable manque de cet album. Avec IQ, on sait à priori à quoi s'attendre mais là, tout en restant dans leurs schémas habituels, la qualité créatrice baisse d'un cran. Espérons que cela ne soit que temporaire.
Album MARILLION B'SIDES THEMSELVES MARILLION
B'SIDES THEMSELVES (1988)
EMI
ROCK PROGRESSIF
5/5
EILEAN11
07/02/2013
 
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Et dire qu'il s'agit d'une compilation de faces B !!!
Et dire que si les fans de l'époque n'avaient pas poussé le groupe à les regrouper sur un album, nous aurions été privés du véritable cinquième et somptueux album de l'ère Fish!
Car ici rien n'est a jeter ... l'énorme épique 'Grendel' rentre dans la légende du progressif, 'Market Square Heroes' le "début single" de l'époque Arlequin de Marillion.
'Three Boats Down From the Candy', morceau apparemment mal foutu dont les lignes mélodiques restent inoubliables.
Ou encore le très rocky Balboa 'Tux On' qui n'a jamais été hélas joué en concert, un tube en puissance.
Sans parler de la perle qu'est 'Cinderella Search'.
Souvenirs souvenirs, Fish avait de la voix et Marillion aimait le progressif ...

Album TWELFTH NIGHT LIVE AND LET LIVE - THE DEFINITIVE EDITION TWELFTH NIGHT
LIVE AND LET LIVE - THE DEFINITIVE EDITION (2012)
F2
ROCK PROGRESSIF
4/5
EILEAN11
06/02/2013
 
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Il est vrai qu'en cherchant à combler ses fans, Twelfth Night nous propose dans cette version de "Live and Let Live" un album un peu moins constant dans son homogénéité que le live initial. Ceci étant surtout dû au fait que sont venus se greffer des morceaux moins puissants, accrocheurs que ceux qui constituaient la galette de 1984.
Ceci dit, ce témoignage live de l'ère Geoff Mann est à ce jour le plus représentatif de ce qu'était Twelfth Night à son apogée, mené par son frontman, futur pasteur.
Dans cette pleine période du néo-progressif des années 80, Twelfth Night était vraisemblablement le seul groupe capable de rivaliser avec Marillion, et le seul groupe qui proposait un leader au moins aussi charismatique que Fish.
Les prouesses vocales du chanteur, ses interprétations théâtrales et oh combien habitées d'un progressif qui n'hésitait pas à flirter avec un peu de new wave me font clairement regretter de ne pas avoir pu vivre un de leurs concerts.
Les morceaux splendides sont nombreux sur ce CD avec l'époustouflant 'Sequences', le terriblement désespéré 'Creepshow' ou encore l'incourtounable 'Love Song'.
Il serait d'ailleurs judicieux de proposer en chronique ce qui est l'un des meilleurs albums de rock néo-progressif de ces années, à savoir le cultissime "Fact and Fiction".
Twelfth Night est un groupe trop injustement méconnu, un joyau réservé à ceux qui se donnent la peine de partir à la chasse aux trésors.

Album MARILLION SOUNDS THAT CAN'T BE MADE MARILLION
SOUNDS THAT CAN'T BE MADE (2012)
RACKET RECORDS
ROCK PROGRESSIF
4/5
EILEAN11
19/10/2012
 
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Quoi de neuf chez Marillion? Ont-ils essayé de bouleverser leur petit monde ou au contraire sont-ils restés en terre connue?
C'est assurement la deuxième option que l'on doit retenir à l'écoute de ce nouvel album qui est un bon album. Certainement le meilleur depuis Marbles sans toutefois l'égaler. (enlevez moi cette note de 9,5 pour Happiness, c'est juste incompréhensible :) ).
Alors oui nous sommes dans des contrées musicales que Marillion maîtrise. Et pourtant, cette galette débute par un titre ('Gaza') qui surprend. En effet, sa construction alterne de nombreuses séquences s'enchainant assez brutalement, sans les transitions léchées auxquelles nous pouvons être habitués. Ajoutez à cela un son, notamment au niveau de la disto de S.Rothery, nouveau, d'une brutalité que je croyais à tout jamais endormie dans les temps révolus où Marillion n'avait pas de problème à flirter avec le hard rock, nous obtenons un excellent morceau, complexe, demandant de nombreuses écoutes et comme souvent dans ce cas, cela est signe de qualité. Point culminant vers la 13ème minute où enfin le même Rothery répond d'un solo splendide à H dans une dramaturgie splendide. Ca fait du bien, il y avait longtemps....
Le reste est plus classique. 'Montreal', second épique, est splendide dans sa finesse.
Les chansons plus pop sont de qualité à l'exception de 'Pour my Love', déjà faite des dizaines de fois et de meilleure manière. Le titre faible.
Néanmoins et exception faite de 'Gaza' et 'Lucky Man', je ne peux que constater ce qui était déjà amorcé lors du précédent album : bravo Monsieur Kelly, il faudrait se réveiller monsieur Rothery. Les claviers sont omniprésents les guitares discrètes voir inexistantes ('Sounds', 'Montreal' ...). Il manque de ces arpèges et solos inspirés, à la place et trop souvent un peu d'accompagnement sorte de minimum syndical. En pré-retraite SR? Les limites de la création en uniques sessions de jam?
Et puisqu'il s'agit là d'une critique, j'ai beaucoup de mal avec les gémissements aigüs de Steve Hogarth qui en abuse à mon goût.
Et puisqu'il s'agit toujours d'une critique, j'ai aussi du mal à me faire à cette petite guitare toute en chorus aigüs, à l'attaque marquée, que l'on peut entendre parfois (exemple la fin de 'The Sky Above the Rain). Pénible.
Mais bon, cela ne m'empêche pas de passer de bons moments à l'écoute de ce nouvel opus qui mérite que l'on s'y attarde, surtout lorsque l'on est connaisseur.

Album MARILLION HAPPINESS IS THE ROAD MARILLION
HAPPINESS IS THE ROAD (2008)
RACKET RECORDS
ROCK ATMOSPHERIQUE
3/5
EILEAN11
07/10/2009
 
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Bon, manifestement je n'ai pas du écouter le même album que celui indiqué par le chroniqueur. Car enfin, soyons réaliste, "Happiness is the road" ne mérite pas une note le plaçant au-dessus d'albums comme "Marbles", "This Strange Engine" et surtout devant le véritable chef d'œuvre qu'est "Misplaced Childhood".
Alors que dire? Mes premières écoutes furent au travers de l'album que le groupe avait laissé en téléchargement libre. Les chansons y étaient placées dans un ordre différent et le son était de qualité très moyenne (volontairement je n'en doute pas). Une chose essentielle m'avait frappé, le déséquilibre entre la part des instruments dans beaucoup de morceaux, fait rare chez Marillion. En effet les claviers de Mark Kelly semblaient très présents et la guitare de Rothery souvent inconséquente voir absente. J'attendais avec impatience de recevoir l'album original pour m'oter cette vilaine impression.
Hélas, trois fois hélas, voilà là où le bât blesse. A part quelques chansons, le guitariste devait être en train de courtiser la belle Hannah Stobbart de Wishing Tree au détriment de sa présence sur l'album.
Du coup, on obtient un album bizarroïde, très Kellyen forcément où de très beaux morceaux tels que "This train is my life, Real tears..." côtoient des chansons intimistes loin d'être toutes réussies ou des morceaux pop franchement pénibles (woke up et son gimmick tiré du générique de "trente millions d'amis" par exemple).
L'ambiance générale planante est surtout cohérente sur le premier cd où une véritable atmosphère intimiste se dégage, le second CD est un méli-mélo ni mauvais ni excellent.
En définitive, pour un double album, je ressens plus une musique de transition qu'un grand concept album. J'attends de voir comment Marillion va une nouvelle fois évoluer.

 
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