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Que dire de plus. Peter Hackett a déjà tellement bien raconté les choses. J'apporte juste ma petite pierre à l'édificice car je veux dire combien j'aimais ce groupe hors du commun et même hors du commun de la musique progressive. Une attitude, des vêtements et une coupe de cheveux spectaculaires achevaient le tableau que le groupe donnait en spectacle lors de ses scènes. Un show époustouflant, une musique à vous dresser les poils de l'échine, des textes d'une grande malice et et d'une terrible intelligence et pour terminer, un instrument troublant et fabuleux : la léode inventée suite à une circonstance de la vie par son maître Claude Léonetti et qui lance ses cris de joie et d'agonie dans de merveilleux glissandos. Je n'ajoute rien, cela ne sert à rien. Procurez-vous ce DVD, témoignage audio et vidéo malheureusement bien trop court, d'une histoire qui appartient déjà, tristement, au passé. Lazuli est mort, vive Lazuli. La renaissance, je l'espère, fera encore vibrer, autrement, les spectateurs ébahis que nous sommes, que je suis en tout cas.
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Fantastique. Rien de très différent de l'album précédent (En avant doute). Toujours cette recherche de combinaisons sonores, ce travail exemplaire sur la rythmique, les percussions et les voix ainsi que le soin apporté aux textes font de cet album un véritable régal. Un excellent album sans évolution notable si ce n'est que En avant doute accusait une petite faiblesse vers les 3/4 de l'album et que celui-ci est très homogène dans sa totalité (environ 47 minutes). Je retrouve également la Léode avec beaucoup de bonheur pcq j'adore le son de cet instrument singulier.
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