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Quelle déception que ce "Amo". J'avais surkiffé l'écoute de "Sempiternal" qui était, pour moi, l'alliance parfaite du metalcore et de la mélodie alternative avec un élan incroyable et une énergie débordante.
"That's The Spirit" commençait à donner de sérieux signes de faiblesses reléguant la guitare au second plan mais possédait encore des mélodies accrocheuses et une certaine hargne contenue.
Ici, plus rien. On ne trouve plus d'âme, plus de rage, plus d'idées. On a perdu Bring Me The Horizon et c'est bien dommage.
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Dream Theater a trouvé un nouveau souffle avec ce "Distance Over Time".
Je n'ai jamais considéré que les Américains s'étaient perdus ou endormis dans leur carrière. Ils ont su évoluer, à leur rythme avec de belles qualités. On ne reviendra pas sur leur maîtrise technique mais il ne faut pas oublier leur créativité et le sens de la mélodie dont ils ne se sont jamais vraiment départis. Un petit côté pop rock assumé et rarement évoqué dans les critiques.
Alors, bien sûr, le virage très metal, que certains pourront regretter, les ont un peu coupé d'une certaine substance originelle mais leur discographie reste pleine de pépites, de trouvailles, et même de moment de grâce.
Pour en revenir à ce dernier opus, celui-ci est essentiellement basé sur les riffs de Petrucci et l'emphase mélodique de James Labrie. John Myung y trouve également une place particulière qui donne une profondeur et une lourdeur assez rare chez Dream Theater. Je trouve en revanche que Jordan Rudess a moins d'influence dans le son qu'il n'a pu en avoir récemment. Je ne sais pas s'il faut le regretter mais je ne fais que le constater.
Cet album est très bon en cela qu'il est plus direct et efficace, très juste sur le plan mélodique et chargé en ce qui a parfois manqué, à savoir l'âme. C'est vrai que cette méthode qui consiste à s'enfermer pendant des semaines pour composer apporte ce supplément de cohésion et de cœur.
Dream Theater avait certainement besoin de cela pour se recentrer sur l'essentiel après un "The Astonishing" quelque peu impersonnel et peut être trop ambitieux.
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C'est difficile pour moi d'avoir un avis tranché à propos de cet album. Je garde toujours en tête l'hallucniante claque que j'ai reçue à l'écoute de "Sola Scriptura" que je peine à retrouver dans la discographie de Neal Morse.
Et en même temps, c'est toujours bien fait, relativement inspiré, avec des mélodies qui s'immiscent dans la cervelle pour ne plus la quitter. On trouve quelques moments de bravoure progressive plus qu'attachants mais il y a aussi des temps morts, des répétitions un peu trop nombreuses.
Alors oui cet album est un plus entraînant encore que son prédécesseur. On sent la joie et le bonheur du partage entre les musiciens. On continue à aimer Neal Morse parce qu'en définitive il fait ce qu'il sait faire et il le fait bien. Comment le lui reprocher? Combien de groupes prennent réellement des risques? Quels sont ceux qui se mettent en danger, sortent des sentiers battus?
Ils sont au final si peu nombreux. Alors je refuse de condamner le père Morse parce qu'il ne crée pas un chef d’œuvre à chaque fois. Il suffit de simplement s'attendre à un bon album pop prog et on a ce que l'on attend. Et c'est déjà très bien
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Tout à fait d'accord avec Noise. Cet album est grand. Et ceux qui pensaient que Rage était un groupe un peu brut de décoffrage sans finesse finiront d'être convaincus du contraire avec ce XII qui fait suite à trois très bons albums des allemands.
Je réécoute assez régulièrement quelques unes des pépites de cet album et même si certains titres passent moins bien que d'autre l'épreuve du temps, on peut dire 16 ans après, que XII constitue toutefois un album majeur de métal orchestré.
Les arrangements sont généralement subtiles, bien ficelés, en parfaite adéquation avec le coté metal de Rage et sont indiscutablement moins artificiels que ce qu'on a pu entendre dans ces années là avec les réarrangements orchestraux de Metallica ou même de Scorpions par exemple.
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L'album qui m'a fait découvrir et apprécier RAGE à l'époque. Le chant se veut en effet mois rocailleux et plus aigu. Le tout s'en trouve bien plus mélodique et harmonieux.
Un bel album qui un peu vieilli évidemment que je réécoute de temps en temps avec un certain plaisir.
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Un très bon album d'Aerosmith qui a été capable d'ouvrir la voie à une certaine connaissance de la part d'un plus large public encore.
Quelques morceaux de très grand calibre avec un Steven Tyler très inspiré dans son chant et un Joe Perry tout en touché et en profondeur. 'Amazing', 'Livin on The edge' ou encore 'Crazy' sont des incontournables de hard rock américain des années 1990.
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