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Album ROINE STOLT THE FLOWER KING ROINE STOLT
THE FLOWER KING (1993)
INSIDEOUT MUSIC
ROCK PROGRESSIF
5/5
THE MONK
19/09/2004
 
60
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Le meilleur album des Flower Kings... et le seul qui m'endorme pas!!
Non, sérieusement, c'est que du bon cet album, du premier au dernier morceau!! Un classique.

Album DREAM THEATER AWAKE DREAM THEATER
AWAKE (1994)
EASTWEST
METAL PROGRESSIF
5/5
THE MONK
07/06/2004
 
60
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Pour moi, Awake est LE meilleur album de DT et ne souffre d'aucune faiblesse. Les ambiances sont très variées: ça va d'un métal assez basique - si un morceau de DT peut être qualifié de basique - avec 6:00 ou Caught in a web jusqu'à la dernière plage atmosphérique émotionnelle qu'est Space-Dye-Vest, en passant par la magnifique ballade Lifting Shadows of a dream, les épiques Scarred et Lie, et surtout la magnifique suite progressive A mind beside itself. Ce morceau est grandiose et au bout d'une centaine d'écoutes, ne m'a toujours pas lassé, des premières notes de l'instrumental Erotomania jusqu'à la fin de The Silent Man, cette suite est passionante de bout en bout.

Evidemment, l'immense talent des musiciens est mis en valeur, il faut écouter Mike Portnoy jouer de la batterie sur cet album et les solos magnifiques de John Petrucci qui privilégie toujours (enfin, à cette époque) l'émotion à la technique (mention spéciale pour les solos de Erotomania, Voices, Lie et Scarred, tous beaux à pleurer quoique très techniques, et pour le très beau petit solo de Lifting Shadows off a dream). Kevin Moore, qui quittera ensuite le groupe, ne nous gratifie pas d'énormément de solos de claviers (le seul "vrai" solo est l'impressionant solo de 6:00) mais préfère créer des ambiances comme sur The Mirror. John Myung est toujours très carré e t son solo à la fin d'Erotomania est très bienvenu. Et le chant? Au chant, James Labrie signe encore une véritable performance tout en réussissant à évoluer. En effet, il apporte à son chant une agressivité inhabituelle (6:00, Caught in a web, The Mirror, Lie), tout en réussissant à rester calme sur certains passages où cela le nécessite.

Enfin, comment passer sous silence la production immense de cet album? Jamais une batterie n'a sonné aussi bien, jamais les claviers n'ont autant ressemblé à des guitares (à l'écoute de 6:00, on ne distingue même plus les deux), et la guitare de Maître Petruuci n'a jamais semblé aussi puissante, soutenue par la basse légèrement en retrait de l'excité John Myung.

Pour conclure, cet album est indispensable à tout fan de prog qui se respecte, plus que tout autre de DT. Dream Theater n'a d’ailleurs jamais réussi à égaler ce disque magistral, peut être à cause du départ de Kevin Moore. Personnellement, c'est l'album que j'emporterais sur une île déserte.

 
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