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Selon moi, l'un des tous meilleurs albums de hard rock/heavy metal de tous les temps. Tout simplement. Il est vrai que j'ai un rapport affectif particulier avec cet album qui a tourné quelques milliers de fois dans mon Walkman à cassettes de l'époque. Mais quand même... D'emblée, difficile de se remettre de la claque sonore qu'on prend avec l'enchaînement The Hellion/Electric Eye. Et ça continue. Les tubes se succèdent impitoyablement, bourrés de riffs tueurs, de solos inspirés, de refrains entêtants, de mélodies à vous donner la chair de poule. Le travail sur les sons de guitare est remarquable. Les musiciens s'éclatent et ça s'entend. Je lance donc un appel aux plus jeunes d'entre nous qui ne connaitraient pas encore cet album, moi qui ne le suis plus vraiment, pour qu'ils découvrent au plus vite ce monument du Métal. Bien sûr, cet album, avec ses 28 ans, n'a pas une qualité sonore équivalente aux albums actuels. Malgré cela, je vous garantis qu'il n'a pas fini de tourner sur vos Ipod.
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Après une traversée du désert de 10 ans, DT nous revient en pleine forme. Personnellement, je ne les croyais plus capables de nous sortir un tel album. Et pourtant, ils l'ont fait. Dès la première écoute, j'ai tout de suite senti qu'il s'était passé quelque chose, comme s'ils avaient retrouvé une nouvelle jeunesse : sincérité, énergie, inspiration, conviction, émotion, comme au bon vieux temps ! D'ailleurs, il ne vous aura pas échappé que la pochette rappelle également de bons souvenirs... James LaBrie a retrouvé sa voix d'antant, certains passages de chant atteignant même des sommets, beaux à faire frissoner de plaisir. Deuxième bonne nouvelle : Petrucci est aussi redevenu capable de nous poser des solis magnifiques et inspirés, comme celui qui conclue "The Best of Times". Quant aux autres musiciens, Portnoy est impeccable (comme d'habitude), Myung assure le service minimum (comme d'habitude), et Rudess nous épargne enfin ses délires qui ne faisaient rire que lui. Bien entendu, l'album contient d'indiscutables imperfections, comme des mélodies un peu trop sirupeuses ou des plagias du Metallica de la mauvaise époque, mais elles seront vite pardonnées par l'exceptionnelle qualité du reste : des riffs qui tuent, des refrains entraînants, des solis plein de feeling, de subtils arrangements et l'un des tous meilleurs morceaux de DT, "The Count of Tuscany", bijou d'émotion et de créativité qui aurait pu figurer sur "Images and Words" ou "SFAM". Le DT de la grande époque est de retour. Encore merci les gars et surtout continuez sur cette lancée. On a encore besoin de vous...
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Enorme ! Quel album ! Je n'ai pas pu résister à écrire une chronique tellement il me paraît important de promouvoir ce petit bijou, d'autant plus qu'il s'agit de leur premier album. D'abord, la production est quasi parfaite, le son est clair et puissant, les instruments équilibrés, rien à dire. Ensuite, les musiciens sont vraiment des grosses pointures, notamment le guitariste qui sait allier technique, gros riffs qui tuent et feeling. Rare ! Les performances des autres musicos, notamment du chanteur, sont tout bonnement excellentes. Concernant le style de leur musique, on a tendance à les comparer à Symphony X, mais j'ai personnellement du mal à supporter ce groupe mais j'adore Myrath ! Leur style me rappelle beaucoup plus le Dream Theater de la grande époque (Image and words/Awake/SFAM) pour plusieurs raisons : le son, les breaks, les solos de guitare petrucciens, les mélodies, les riffs, etc... mais en ajoutant une touche de musique orientale ça et là, Myrath parvient à créer son propre style et à éviter le plagiat. Le morceau intitulé "Confessions" est d'ailleurs un modèle de métal prog, sans doute un des meilleurs que j'aie jamais entendus : 11 mn 30 de pur bonheur, un condensé de Myrath au top, de quoi faire tembler les plus grands groupes du genre. Bref, vous savez ce qui vous reste à faire si vous ne vous êtes pas encore procuré cette perle rare. Satisfaction 100 % garantie !
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Mais qu'est-ce qui leur arrive ? Non mais franchement, à ce niveau là, c'est du foutage de gueule... Comment osent-ils saborder leur propre groupe et gâcher autant de talent ? Ils pourraient respecter un peu plus leur public, sans lequel ils ne seraient jamais devenus ce qu'ils sont aujourd'hui. Personnellement, je n'ai plus beaucoup d'espoir dans l'avenir de Dream Theater. Mais enfin, on peut toujours rêver...
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Sans aucun doute LE chef-d'oeuvre de Dream Theater selon moi. Rarement un album m'a procuré autant d'émotions, des larmes à la rage, de la sérénité aux frissons. Pourtant, certains morceaux ne me plaisent que très moyennement, notamment Caught in a Web, mais le reste atteint de tels sommets musicaux qu'ils sont vite oubliés. Citons en vrac la trilogie Erotomania, Voices, The Silent Man et ses nombreuses apothéoses et sa magnifique cohésion, l'hypnotique The Mirror, les énergiques 6.00 et Lie, la superbe ballade Lifting Shadows of a Dream, et ces deux bijoux de DT que sont Scarred et Space Dye Vest. Sur cet album James La Brie n'a jamais aussi bien chanté, Petrucci été aussi émotif et créatif, Portnoy aussi juste. Enfin, Awake est l'album qui nous fera à jamais regretter le départ de Kevin Moore. Il suffit d'écouter les autres albums du groupe pour constater que quelque chose a disparu, ce petit plus qui fait du DT de ces années-là une formation execptionnelle. Finis les Space Dye Vest, les Wait for Sleep d'Images and Words, composés par lui, sniff... On pourra toujours se consoler en écoutant ces albums puisque de toute façon on ne peut s'en lasser.
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