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Oscillant entre le clacissisme old scholl Yessien lié à la voix de Ion Anderson et le modernisme apporté par le jeu de Roine Stolt et des autres "jeunes" musiciens, cet album est simplement beau, agréable à écouter. Même si par moment une petite impression de "déjà entendu" pointe son vilain nez, les brillants interprètes nous font passer un excellent moment musical. Des albums comme ça, on en redemande !!
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Un album qui n'est pas de la dernière originalité, mais qui est diablement efficace dans le genre rock prog festif. C'est pêchu, enjoué, avec des harmonies de voix qui me font surtout penser à A.C.T. !!
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Cet unique album mérite qu'on s'y attarde. On se demande ce que Sandrose aurait pu produire avec les moyens techniques d'aujourd'hui ...
Remis dans le contexte de l'époque, cet album est pour moi un témoignage incontournable de la scène progressive française.
J'apporterais quelques compléments aux informations déjà fournies par le chroniqueur :
Jean-Pierre Alarcen avait déjà créé en 1966 un groupe nommé les Mod's avec Alain Legovic (alias Alain Chamfort).
Il fut pour moi surtout le guitariste du regretté François Béranger ("Le Monde Bouge" - 1974, "L’Alternative" - 1975, "En Public" - 1977 et "Participe Présent" - 1978) et le compositeur de deux albums solo plus que recommandables : "Tableau n°1" en 1979 et "Tableau n°2" en 1998.
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Steve Hackett est comme un grand cru qui ne cesse de se bonifier avec le temps. C'est surement aujourd'hui un des guitaristes les plus inspirés du monde rock. Avec "Wolflight" il nous offre de bien belles mélodies, des arrangements somptueux et toujours ce toucher de guitare unique et merveilleux au feeling incomparable.
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Fan de la première heure de Wishbone Ash, je ne peux qu'être déçu par par cette prestation de Martin Turner. Andy Powell porte encore bien haut le nom du groupe avec ces nouveaux petits camarades et ses prestations sont nettement plus jouissives que celle de Martin ... Malgré la présence de Laurie Wisfield et de Ted Turner sur certains titres, on est bien loin dur rock solaire de Wishbone Ash.
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Un album très surprenant ... A la première écoute il semble bien léger, agréable mais léger. Puis écoute après écoute on lui trouve des qualités musicales qui donnent envie de l'écouter et de de l'écouter encore...
La musique balaie un spectre assez large, du néo-prog typé polonais, entre Satellite et Riverside à un symphonique new-age qui semble issu du métissage d'Eloy avec Tangerine Dream. Superbe !
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