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Plus ça change, plus c'est la même chose. Un très bon cru de Rush intercalée entre une très bonne cuvée et un album un peu mitigé. Le Cygnus, deuxième du nom, se montre très intriguant. 'Circumstances' possède un plancher hard-rock truqué qui se meut sous nos oreilles et nous conduit vers des contrées progressives. L'introduction de 'The Trees' nous invite à prendre une petite pause, après la tension dégagée par les deux précédents morceaux, pause de courte durée car voilà nos Canadiens prendre la tangente. Le dernier morceau est le mystérieux 'La Villa Strangiato', 9 minutes de voyage instrumental dans une compagnie aérienne spécialisée dans les transports vers des mondes mystérieux. En somme, le nouvel hémisphère confirmé par ''A Farewell To Kings'' et ''2112'' est bien dégagé. Bon vol!
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Best-of orchestral intelligent. Midge Ure sur les pas de Ian Anderson réalise un petit bijou émotionnel.
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Alan Simon est un artiste précieux mais ce best-of ne lui rend guère hommage. Dans best-of, on entend le meilleur de. Et Alan Simon peut se targuer d´avoir oeuvré dans presque tous les genres de manière réfléchie et continue. Mais avec ces deux disques dépassant les 2 heures d´écoute, l´auditeur va devoir se préparer à un marathon (que c´est indigne que de sauter les pistes!). En outre, il semblerait que l´excellent (´On The Road´ avec le non moins excellent Justin Hayward) cotoie l´anecdotique voire le risible (´Peace On Earth´, ´Where Is The Way´) comme si on avait voulu appater le chaland en pointant du doight l´ecclectisme de l´artiste. Compartimenter l´oeuvre de cet artiste consiste à prendre des pages de Victor Hugo (et pas les meilleures), à tout secouer et a former une nouvelle oeuvre. Cet indigeste pavé ne doit vraiment etre réservé qu´aux fans les plus extremistes (et encore ils connaissent pratiquement déjà tout), les néophytes feraient bien mieux d´écouter ´´Excalibur´´.
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Après l'échec de son premier album, le noyau dur Davies/Hodgson se sépare de Millar/Palmer et embauche trois nouveaux musiciens. Si l'entente semble parfois juste et de haute volée ('Remember' et ses saxophones, les accordéons sur 'Rosie Had Everything' ) on sent que le groupe s'est livré à un peu de facilité : une pochette graveleuse pour attirer les chalands, des tirs à vue dans tous les sens, histoire d'être sûr d'abattre au moins une cible. On peut toutefois regretter que cette formation ait été décapité avant la maturité tant le jeu de Dave Winthrop annonce celui de son successeur, et celui du multi-instrumentiste Frank Farell méritait un meilleur sort. Un pas en arrière pour mieux sauter.
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Premier album d'un Supertramp qui affichait de sérieuses vélléités progressives ('It's A Long Road' et l'enchaînement des pistes). La répartition Davies/Hodgson n'est pas encore définie, Richard Palmer s'octroie quelques passages derrière le micro (hélas un peu trop excessifs). Pourtant, en tendant l'oreille, on peut croire que le son Supertramp est déjà là : le clavier bien tempéré de Rick Davies, le chant aigu de Roger Hodgson. Un album à réévaluer avec une pochette que n'aurait pas renié Peter Gabriel.
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Album de commande moins structuré que More mais avec une guitare rageuse ('Free Four') et des mélodies entêtantes ('The Gold It's In The') voire inquiétantes (le titre éponyme).
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