Le punk est passé, la new wave en est à ses prémices, et Edgar Broughton nous livre un nouvel album en cette année 1979, au style hésitant entre ces deux tendances.
Inutile de parler d'un quelconque intérêt pour ce type de musique, les morceaux composant cette galette étant d'un ennui total. Les courageux qui auront la curiosité de ne pas se mettre en mode "intro" sur leur lecteur de CD, craqueront probablement de manière définitive à l'écoute de la plus que désagréable plage 7, "Revelations One", qui enverra même le plus imbibé des auditeurs à pousser le bouton eject de son appareil hifi.
On pourrait disserter le reste de cette chronique sur l'intérêt d'un label à ressortir ces vieilleries. Pour ma part, je n'aurai que deux mots à ajouter : courage, fuyons.