Jabberwocky est tiré d'un poème de Lewis Caroll qui raconte l'aventure d'un jeune garçon partant chasser un jabberwock - nom donné à une sorte de dragon - terrorisant le pays. Pour l'encourager dans sa quête, il fera la connaissance d'une jeune fille et d'éléments naturels tels un arbre... Si l'histoire peut faire penser à l'histoire sans fin va t-on aussi avoir le droit a une chanson genre "Never Ending Story"
Evidemment, la musique n'a absolument rien a voir avec ce trop fameux hit du top 50 des années 80... C'était juste pour dire n'importe quoi comme d'habitude.
Ceux qui ont d'abord connu l'album suivant "the hounds of The baskervilles" ne seront absolument pas dépaysés. On retrouve donc énormément de claviers (Nolan Inside) reléguant la guitare au second plan. Chaque caractère a sa voix, toutes très bonnes. Les nombreuses parties narratives sont occupées par Rick Wakeman.
L'intérêt de Jabberwocky sans comprendre les paroles est fortement limité car beaucoup de passages sont dignes d'une musique de film. Le contenu est assez inégal, certaines musiques prennent aux tripes et d'autres laissent totalement indifférent.