Il est des fois où on se doute, à la seule lecture du site internet, que le groupe auquel on va prêter son oreille ne va pas forcément vous procurer l’extase que l’on est en droit d'attendre d’une découverte. Avec Dare Dukes (nom du fondateur du groupe), c’est ce qui s’est exactement passé à l’écoute de leur premier opus « Prettiest Transmitter Of All ».
Tout d’abord, les influences mises en avant par le combo se situent au niveau de, je cite, Pixies, Fugazi et…Tom Waits. Rajoutez là-dessus une durée de 31 minutes pour 7 titres, une impression d’entendre Oasis version unplugged, et vous comprendrez qu’il est difficile de se prendre au jeu de Dare Dukes.
Ca ne décolle pas, c’est mou, plat et finalement sans saveur. Non pas que les compos soient mauvaises mais le tour de la galette est fait une fois le premier morceau écoulé. La suite est une répétition sans fin. A éviter...